Anelka, suspendu mais ''heureux''
Deux mois après avoir fait scandale avec une quenelle en guise de célébration, Nicolas Anelka s'est satisfait de la sanction de 5 matches prononcée par la FA, jeudi. Le geste est condamné (en tant que faute grave à caractère politique, racial ou religieux), mais n'est pas considéré comme antisémite.Â
Sur le même sujet :
- facebook foot actu
- Publié le Samedi 08 Mars 2014 à 03h15 sur SoFoot
Ce jeudi, le rapport de 35 pages de la commission indépendante de la FA, qui a jugé Nicolas Anelka, a été rendu public. Selon elle, l'attaquant français ne peut pas être reconnu coupable «…
- facebook foot actu
- Publié le Jeudi 06 Mars 2014 à 17h57 sur Sports.fr
Alors que Nicolas Anelka ne devrait pas faire appel de la sanction de 5 matches, la Fédération anglaise a publié le compte-rendu de la commission qui a jugé de cette affaire. La quenelle y est considérée comme "liée à l´antisémitisme", mais le joueur n´est pas antisémite car il assure avoir seulement dédicacé un but à Dieudonné.
- facebook foot actu
- Publié le Jeudi 06 Mars 2014 à 20h16 sur Goal
Selon The Guardian, Nicolas Anelka ne devrait pas faire appel après sa suspension de 5 matches annoncée par la Fédération Anglaise.
- facebook foot actu
- Publié le Jeudi 06 Mars 2014 à 17h57 sur Sports.fr
Alors que Nicolas Anelka ne devrait pas faire appel de la sanction de 5 matches, la Fédération anglaise a publié le compte-rendu de la commission qui a jugé de cette affaire. La quenelle y est considérée comme "liée à l´antisémitisme", mais le joueur n´est pas antisémite car il assure avoir seulement dédicacé un but à Dieudonné.
- facebook foot actu
- Publié le Jeudi 06 Mars 2014 à 17h37 sur Sports.fr
Comme expliqué par son avocat après l´annonce par la FA d´une sanction de 5 matches et d´une amende de près de 100 000 euros, Nicolas Anelka ne devrait pas faire appel, indique The Guardian. L´ancien international français avait une semaine pour contester les conclusions de la commission spécialement créée pour juger de cette affaire. Dans le compte-rendu rendu public par la Fédération, le panel d'experts (dont un professeur de français) a conclu